/fr/ - le fil francophone et français. Maghrebins interdits

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Édition du dessous de l'iceberg vivant.

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>drapeau suédois
Qu'est ce que ce commentaire social signifie?

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...

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CHEMI CHEMI

>recherche profonde.
Rien.
Bon c'est vraiment mort.
Les kop1s ont finalement dû rejoindre le grand échange des fluides, ou discorde

>Lundi
BNF fermée, BPI saturée
>Mardi
BPI fermée, BNF saturée

Quelqu'un peut confirmer si St Geneviève est accessible sans carte d'étudiant?

>subtilisé !

Il est par les faubourgs un ramas de maisons
Dont les murs verts ont l’air de suer des poisons,
Et dont les pieds baignés d’eau croupie et de boue
Passent en puanteur l’odeur de la gadoue.
Rien n’est plus triste à voir, dans ce vilain Paris,
Entre le ciel tout jaune et le pavé tout gris,
Que ne sont ces maisons laides et rechignées.
Les carreaux y sont faits de toiles d’araignées ;
Le toit pleure toujours comme un œil chassieux ;
Les murs, bâtis d’hier, semblent déjà tout vieux :
Pas un seul pan d’aplomb, pas une pierre égale,
Ils sont tout bourgeonnés, pleins de lèpre et de gale,
Pareils à des vieillards de débauche pourris,
Ruines sans grandeur et dignes de mépris.
Un bâton, comme un bras que la maigreur décharne,
Un lange sale au poing, sort de chaque lucarne.
Ce ne sont sur le bord des fenêtres que pots,
Matelas à sécher, guenilles et drapeaux,
Si que chaque maison, dépassant ses murailles,
À l’air d’un ventre ouvert dont coulent les entrailles.

Des hommes vivent là, dans leur fange abrutis ;
Leurs femmes mettent bas et leur font des petits
Qui grouillent aussitôt sous les pieds de leurs pères,
Comme sous un fumier grouille un nœud de vipères.
Dans la plus noire ordure, au milieu des ruisseaux,
On les voit barboter, pareils à des pourceaux ;
On les voit scrofuleux, noués et culs-de-jattes,
Comme un crapaud blessé qui saute sur trois pattes,
Descendre en trébuchant quelque raide escalier
Ou suivre tout en pleurs un coin de tablier.
D’autres, en vagissant, d’une bouche flétrie,
Sucent une mamelle épuisée et tarie,
Et les mères s’en vont chantant d’une aigre voix
Un ignoble refrain en ignoble patois.
Quant aux hommes, ils sont partis à la maraude :
À peine verrez-vous quelque fiévreux qui rôde,
Le corps entortillé dans un pâle lambeau,
Plus jaune et plus osseux qu’un mort sous le tombeau.

Contre-plongée en Anglais?

>discord
Quelle horreur...

Pas sûr que l'elfe soit majeure
Après c'est du dessin, je comprends pas vraiment pourquoi ça serait interdit

La seule différence entre ce que je viens de gribouiller et un vrai artiste hentai, c'est le talent. Dans les deux cas, c'est que des coups de crayon/souris.

low-angle shot

Aucun soleil jamais ne dore ces fronts haves,
Nul rayon ne descend en ces affreuses caves,
Et n’y jette à travers la noire humidité
Un blond fil de lumière aux chauds jours de l’été.
Une odeur de prison et de maladrerie,
Je ne sais quel parfum de vieille juiverie
Vous écœure en entrant et vous saisit au nez.
Des vivants comme nous sont pourtant condamnés
À respirer cet air aux miasmes méphitiques,
Ainsi qu’en exhalaient les Avernes antiques ;
Les belles fleurs de mai ne s’ouvrent pas pour eux,
C’est pour d’autres qu’en juin les cieux se font plus bleus ;
Ils sont déshérités de toute la nature,
Pour apanage ils n’ont que fange et pourriture.
Ces hommes, n’est-ce pas, ont le sort bien mauvais ?
Tout malheureux qu’ils sont, moi pourtant je les hais,
Et si j’ai fait jaillir de ma sombre palette,
Avec ses tons boueux, cette ébauche incomplète,
Certes ce n’était pas dans le dessein pieux
De sécher votre bourse et de mouiller vos yeux.
Dieu merci ! je n’ai pas tant de philanthropie,
Et je dis anathème à cette race impie.


II


Entrez dans leurs taudis. Parmi tous ces haillons,
Vous verrez s’allumer de flamboyants rayons.
Moins l’aile et le bec d’aigle, ils sont en tout semblables
Aux avares griffons dont nous parlent les fables,
Et veillent accroupis, sans cligner leurs yeux verts,
Sur de gros monceaux d’or de fumier recouverts.
Pour y chercher de l’or ils vous fendraient le ventre ;
Pour l’or ils perceraient la terre jusqu’au centre ;
Ils iraient dans le ciel, de leurs marteaux hardis,
Arracher vos clous d’or, portes du paradis,
Et pour les faire fondre en vos cavernes noires,
Anges et chérubins ils vous prendraient vos gloires.

Non que l’or soit pour eux, ce qu’il serait pour nous,
Un moyen d’imposer ses volontés à tous,
Et de faire fleurir sa libre fantaisie
Comme un lotus qui s’ouvre au chaud pays d’Asie.

Against diving.

Facile.
Une autre ?

Je me réveille tout juste de ma sieste

>.

Il est temps! Pour la République!

t. gg traduis

merci.
t. acheté un dico électronique Collins, mais passé "table" et "lapin", rien.

Est-ce possible natty?

>82649629
Putain j'aimerais avoir ce niveau d'assurance. Ma théorie c'est quiconque se montre finit par trouver des admirateurs.

...

J'ai pas pu regarder jusqu'au bout, arrête de faire ça steuplait...

Quoi veut tu dire par elle?

Fallait prendre un meilleur dictionnaire

...

Ces deux diodes me chagrinent terriblement.
Un branchement doit manquer ou elle a un message sur son répondeur.

Ca ressemble à un linksys de loin, il me faudrait l'adresse mac ou qu'elle lise l'étiquette pour être sûr.

Elle est presque mignonne, en plus...

mais sur malinphone?

Fuck french now, do they just wallow around to convey themselves?

L’or, ce n’est pas pour eux des châteaux au soleil,
Un voyage lointain sous un ciel plus vermeil,
Un sérail à choisir, de belles courtisanes
Baignant de noirs cheveux leurs tempes diaphanes ;
Des coureurs de pur sang, une meute de chiens,
Une collection de grands maîtres anciens,
L’impérial tokay côte à côte en sa cave,
Avec les pleurs de Christ sur leur natale lave.
L’or, ce n’est pas pour eux la clef de l’idéal,
L’anneau de Salomon, le talisman fatal,
Qui, forçant à venir les démons et les anges,
Fait les réalités de nos rêves étranges.
Ils aiment l’or pour l’or : c’est là leur passion ;
Le seul bonheur pour eux c’est la possession ;
Comme un vieil impuissant aime une jeune fille,
Quoiqu’ils n’en fassent rien, ils aiment l’or qui brille,
Et voudraient sous leurs dents, pour grossir leur trésor,
Pouvoir, comme Midas, changer le pain en or.

Les choses de ce monde et les choses divines,
Les plus grands souvenirs, les plus saintes ruines,
Ils ne respectent rien et vont détruisant tout.
Ils jettent sans pitié dans le creuset qui bout,
Avec leurs cercueils peints et dorés, les momies
Des générations dans le temps endormies.
Ils brûlent le passé pour avoir ce peu d’or
Qu’aux plis de son manteau les ans laissaient encor.
Chandeliers de l’autel, vases du sacrifice,
Ouvrages merveilleux pleins d’art et de caprice,
Cadres et bas-reliefs aux fantasques dessins,
L’ange du tabernacle et les châsses des saints,
Les beaux lambris d’église et les stalles sculptées
Gisent au fond des cours à pleines charretées.
Pour cuire leur pâture ils n’ont pas d’autre bois
Que des débris d’autel et des morceaux de croix ;
C’est un bûcher doré qui chauffe leur cuisine,
Cependant qu’accroupie au coin du feu, Lésine,
Les yeux caves, le teint plus pâle qu’un citron,
Tourne un maigre brouet au fond d’un grand chaudron.

...

>téléphone-postage

Je me demande ce qu'ils font des muscles pendant l'opération. Ils les rattachent en bas du fémur?

L’épine de son dos est collée à son ventre,
Son épaule est convexe, et sa poitrine rentre ;
Elle a des sourcils gris mêlés de longs poils blancs ;
Comme un bissac de pauvre, à chacun de ses flancs
Sa mamelle s’allonge et passe la ceinture ;
On peut compter les fils de sa robe de bure,
Et, quoiqu’elle soit riche à payer vingt palais,
Ses manches laissent voir ses coudes violets ;
Elle claque du bec comme fait la cigogne ;
Et quand elle remue et vaque à sa besogne,
On entend ses os secs à chaque mouvement,
Comme un gond mal graissé, rendre un sourd grincement.


III


Ah ! race de corbeaux, ignoble bande noire,
Hyènes du passé, vrais chakals de l’histoire,
C’est vous qui disputez dans les tombeaux ouverts,
Pour prendre leur linceul, les trépassés aux vers,
Et qui ne laissez pas debout une colonne
Sur la fosse d’un siècle où pendre sa couronne.
Par la vie et la mort, par l’enfer et le ciel,
Par tout ce que mon cœur peut contenir de fiel,
Soyez maudits !

Jamais déluge de Barbares,
Ni Huns, ni Visigoths, ni Russes, ni Tartares,
Non, Genseric jamais, non, jamais Attila,
N’ont fait autant de mal que vous en faites là.
Quand ils eurent tué la ville aux sept collines,
Ils laissèrent au corps son linceul de ruines.
Ils détruisaient, car telle était leur mission,
Mais ne spéculaient pas sur leur destruction.

C’est vous qui perdez l’art et par qui les statues
Près de leurs piédestaux moisissent abattues !
Destructeurs endiablés, c’est vous dont le marteau
Laisse une cicatrice au front de tout château ;
C’est vous qui décoiffez toutes nos métropoles,
Et, comme on prend un casque, enlevez leurs coupoles ;
Vous qui déshabillez les saintes et les saints,
Qui, pour avoir le plomb, cassez les vitreaux peints
Et rompez les clochers, comme une jeune fille
Entre ses doigts distraits rompt une frêle aiguille ;
C’est à cause de vous que l’on dit des Français :
« Ils brisent leur passé ; c’est un peuple mauvais. »

Encor, si vous étiez la vieille bande noire !
Mais vous êtes venus bien après la victoire.
Vous becquetez le corps que d’autres ont tué ;
Vous avez attendu que sa chair ait pué,
Avant que de tomber sur le géant à terre,
Vautours du lendemain ! Dans le champ solitaire,
Par une nuit sans lune, où le firmament noir
N’avait pas un seul œil entr’ouvert pour vous voir,
Vous avez abattu votre vol circulaire
Et porté tout joyeux la charogne à votre aire.
Les bons et braves chiens, lors que le cerf est mort,
S’en vont. Toute la meute arrive alors, et mord,
Mêlant ses vils abois à la trompe de cuivre,
Le noble cerf dix cors, qu’à peine elle osait suivre ;
Et les bassets trapus, arrivés les derniers,
Ont de plus gros morceaux que n’en ont les premiers.
Vous êtes les bassets : Vous mangez la curée
Par les chiens courageux aux lâches préparée.
Quand les guerriers ont fait, les goujats vont au corps
Et dérobent l’argent dans les poches des morts.

Ô fille de Satan, ô toi, la vieille bande,
Comme ta mission, tu fus horrible et grande.
Je ne sais quelle rude et sombre majesté
Drape sinistrement ta monstruosité ;
Une fauve auréole autour de toi rayonne,
Et ton bonnet sanglant luit comme une couronne ;
Des nerfs herculéens se tordent à tes bras ;
L’airain, comme un gravier, se creuse sous tes pas ;
Sur le marbre, en courant, tu laisses des empreintes,
Et le monde ébranlé craque dans tes étreintes.
C’est toi qui commença ce périlleux duel
Du peuple avec le roi, de la terre et du ciel ;
Et quand tu secouais, de tes mains insensées,
Les croix sur les clochers, si près de Dieu dressées,
On croyait que le Christ, par les pieds et le flanc,
En signe de douleur allait pleurer le sang ;
On croyait voir s’ouvrir la bouche de sa plaie
Et reluire à son front une auréole vraie,
Et l’on fut bien surpris que ton bras et ton poing
Après l’avoir frappé, ne se séchassent point.

...

>/fr/ - hectique general

...

Stop avec les amputés...

>un obsédé par les youtres et un obsédé par les amputées
J'ai compris, je repasse dans une heure ou deux.

...

Languir por tintinposting deja?

>gtfo

Oui c'est très agréable

Tout le monde attendait un grand coup de tonnerre,
Comme au saint vendredi quand l’on baise la terre ;
On ignorait comment Dieu prendrait tout cela,
Et quel foudre il gardait à ces insultes-là.
Nulle voix ne sortit du fond du tabernacle,
Le ciel pour se venger ne fit aucun miracle,
Et comme dans les bois fait un essaim d’oiseaux,
Les anges effarés quittèrent leurs arceaux.
Mais tu ne savais pas si dans les nefs désertes
Tu n’allais pas trouver, avec leurs plumes vertes,
Leur œil de diamant et leurs lances de feu,
À cheval sur l’éclair, les milices de Dieu.
La première et sans peur tu mis la main sur l’arche,
Et tes enfants perdus allèrent droit leur marche,
Sans savoir si le sol tout d’un coup sur leurs pas
En entonnoir d’enfer ne se creuserait pas.
Tu fus la poésie et l’idéal du crime ;
Tu détrônais Jésus de son gibet sublime,
Comme Louis Capet de son fauteuil de roi ;
La vieille monarchie avec la vieille foi
Râlait entre tes bras, toute bleue et livide,
Comme autrefois Antée aux bras du grand Alcide.
Et le Christ et le roi, sous tes puissants efforts,
Du trône et de l’autel tous deux sont tombés morts.
Au seul bruit de tes pas les noires basiliques
Tremblottaient de frayeur sous leurs chapes gothiques,
Leurs genoux de granit sous elles se ployaient ;
Les tarasques sifflaient, les guivres aboyaient,
Le dragon se tordant au bout de la gouttière
Tâchait de dégager ses ailerons de pierre ;
Les anges et les saints pleuraient dans les vitreaux ;
Les morts, se retournant au fond de leurs tombeaux,
Demandaient : « Qu’est-ce donc ? » à leurs voisins plus blêmes,
Et les cloches des tours se brisaient d’elles-mêmes.

...

Quand tu manquais de rois à jeter à tes chiens,
Tu forçais Saint-Denis à te rendre les siens ;
Tu descendais sans peur sous les funèbres porches :
Les spectres, éblouis aux lueurs de tes torches,
Fuyaient échevelés en poussant des clameurs ;
Troublés dans leur sommeil, tous ces pâles dormeurs,
Rêvant d’éternité, pensaient l’heure venue
Où le Christ doit juger les hommes sur sa nue ;
Et quand tu soulevais de ton doigt curieux
Leur paupière embaumée, afin de voir leurs yeux,
Certes, ils pouvaient croire, à ton rire sauvage,
À l’air fauve et cruel de ton hideux visage,
Qu’ils étaient bien damnés, et qu’un diable d’enfer
Venait les emporter dans ses griffes de fer ;
L’épouvante crispait leur bouche violette ;
Ils joignaient, pour prier, leurs deux mains de squelette,
Mais tu les retuais sans plus sentir d’effroi
Que pour guillotiner un véritable roi.
Tes rêves n’étaient pas hantés de noirs fantômes,
Toutes les sommités, têtes de rois et dômes,
Devaient fatalement tomber sous ton marteau,
Et tu n’avais pas plus de remords qu’un couteau ;
Tu n’étais que le bras de la nouvelle idée,
Et le sang, comme l’eau, sur ta robe inondée
Coulait et te faisait une pourpre à ton tour.
Ô tueuse de rois, souveraine d’un jour !
Tes forfaits étaient noirs et grands comme l’abîme,
Mais tu gardais au moins la majesté du crime,
Mais tu ne grattais pas la dorure des croix,
Et, si tu profanais les cadavres des rois,
C’était pour te venger, et non pas pour leur prendre
Les anneaux de leurs doigts ni pour les aller vendre !

Tu est un fou malade si tu ne ferais pas l'amour à cette belle blonde bien en chair

Shogun 2?

...

A première vue, ils les coupent et peuvent leur donner une forme particulière.
(Ya pas qu'un muscle dans la cuisse hein, il y en a plein que j'ai oublié parce que j'ai eu 0 en anatomie)

Le ouébème précédent indiquerait qu'ils ne les attachent nulle part. Du coup il doivent restés insérés en haut pour pouvoir être innervé et pas necroser mais doivent se balader tranquillement jusqu'à ce que l'atrophie les rendent comme des figues sèches.
Enfin je suppose.

Je me demande comment elles se sont toutes retrouvées amputées.

Avez-vous parfois l'impression que malgré vos mesures de sécurité, Facebook vous a mis en suicide-montre? Pourtant j'ai lu que leurs algos seraient déployés partout dans le monde, sauf en UE.

>exemple de gachette :
Un ami vous répond : "Are you ok?"

Évidemment la cible esentielle est d'éviter la mauvaise pub des suicides en direct Facebook Live, cible majeure des algos

Une fois la gachette déclenchée (si j'ose dire), fb prévient votre meilleur ami.
Votre meilleur ami reçoit un message avec des conseils sur comment aider, un lien vers un 3è ami (si ton meilleur ami ne se sent lui-même pas bien, de savoir que tu veux peut-être crever), ainsi qu'un numéro de téléhone chaudeligne.

Évidemment, ton meilleur ami au lieu de te soutenir va se mettre à t'éviter comme la peste

>Quelqu'un se sent sur la surveilleliste?

Je n'arrête pas de recevoir des messages réconfortants, style "vos amis ont aimé vos publications 100 fois !" (à l'instant, une nouvelle suggestion d'ami...)
Ceci dit, merci à l'UE pour avoir interdit ce Nounou Algorithme.

Tiens je me demandais quand t'allais poster Lauren

...

>Maghrebins interdits
raciste ?

>Petit pb de moderation, le site snes.edu du Syndicat Enseignant @SNESFSU, #trèsCalmement avec des liens qui pointent vers des sites *zoophiles* dans les commentaires ! La modération c'est pas pour les chiens (enfin...)

twitter.com/RaspbianFrance/status/938104106908045313

...

quand utiliser a-propos et quand utiliser d'ailleur(s)

Quelle est la différence entre un bon et un mauvais maghrébin ?

citation involontaire

>Shogun 2?
On dirait bien. Il est tellement génial ce jeu

Le bon maghrébin vit chez lui, au maghreb.

Ceci.

>raciste

Ethnicite de cet poster - blanc

Shogun 2, Fall of the Samurai.

Avec des fusils et des cuirassés à la place des katanas et des arcs.

Quelqu'un connaît le naufrage webm, avec la fille à poil dans une voiture pendant que son copain conduit, elle met sa tête à la fenêtre à pleine vitesse, puis tout son corps, puis se fait découper par un semi-remorque?

...

...

Base collaborateur Herge confirme le poignarde dans le dos allemande.

Oui roi tuer!

...

Oublie le image

>c'est un user spam sa merde épisode

Ca m'a toujours l'air intéressant ces jeux Total War, mais je ne me suis jamais initié à la stratégie "cœur-dur". Je me suis arrêté à Civ 6 il y a quelques années, qui est beaucoup plus gestion que stratégie.

Pas mis les pieds sur visage livre depuis des années et j'aurais personne à qui parler de toute façon.
Donc je saurais pas dire.

En même temps, les chaudes lignes pour les suicides, apparemment, c'est des vrais connards qui limite te poussent à le faire. Ou à l'inverse qui te disent "meuh c'est rien, arrête de faire ta chochotte"

haut gâteau

Il spamme tellement que presque tout le monde s'est barré

"à propos" signifie que tu continues sur le même sujet. Ici, "propos" équivaut à "topic" : à ce propos, en continuant sur ce propos, j'ajoute que...

"D'ailleurs" : littéralement ce que tu veux dire vient d'ailleurs, ne sera pas lié avec ce qui précède.
Bon, regarde peut-être une source officielle, je me rends compte que c'est compliqué en fait, en fait "d'ailleurs" est peut-être utilisé quand tu veux signifier que tu viens d'avoir une association d'idée, dont le lien n'est pas évident a priori.

Je préfère les mignonettes amputées que les murs de textes sur Degrelle et les youpins, ca change du quotidien

Il est où l'user qui devait me photographier et me poster la nouvelle stagiaire avec style années 80?

...

Mon problème avec les Civ, c'est justement l'absence des batailles rangées. Complètement retourner la situation d'une campagne mal partie avec une seule bataille en sous-nombre sur les remparts, j'adore.

A-arrête, j'ai déjà trop de fétiches étranges. J'en veux plus.

Mon francais n'est pas assez sophistique pour referer a une respirce officiale encore, d'ailleurs je te remercier

...

>c'est des vrais connards qui limite te poussent à le faire. Ou à l'inverse qui te disent "meuh c'est rien, arrête de faire ta chochotte"
Tiens dans le même registre, j'ai vu passer un article du Monde disant qu'une recherche américaine scientifique avait montré que les enfants athées avaient plus d'empathie que les enfants élevés dans la religion.
(je me disais que peut-être dans une telle situation il vaut mieux se tourner vers des associations confessionnelles, plutôt que des assos caritatives où on se fout de ta gueule, mais pas sûr)

Ai testé une fois en fait, mais pas par téléphone, par mail. J'avais eu une réponse, semble-t-il rédigée par un psy.
Bon si ça se trouve ils font peut-être exprès d'être méchants au téléphone, c'est peut-être ça qui sauve des vies, style psychologie inversée, "On veut que tu crèves" => plus envie de crever,

Hariri, l'ancien PM du Liban, annule sa démission.

>WW3 quand?

resource pas "resprice", cet mot est un mystere

partez d'ici blancoid desole

Bah ça fait des semaines qu'on sait qu'il va le faire.

(user qui cherche une BD)
Le tueur

Ça raconte comment un petit concratucuel pour bourgeois du 16e devient assassin pour la CIA collaborant avec le Cartel. Monologues tranchants, images aggréables, progression intéressante. (il a fumé son premier par accident à la batte alors au'il devait juste lui faire peur)

(user et ses maîtresse qui a fait fausse toute)
Courage user. Parfois il suffit de recevoir un sourire.

>mvq Hezbollah renverse le gouvernement libanais et enfin mis terme au problème israëlien

Ya Nasrallah, pêh

...

>memebollah

Quitte à spammer de la merde, je vais spammer MA merde.

>pic
Les* gamines musulmanes ne portent pas de voile, pas avant la puberté

>devance démenti par l'image
*la plupart

t. connoisseur musulmanique

>ruskof installe des missiles sur Cuba
>pas de 3GM
>niakoué lance des missiles nucléaires capabes de toucher l'occident
>pas de 3GM
>deux dirigeants bougnoules se prennent le bec
>3GM instantanée

Ah... c'est toi... Tu es vraiment bizare user, même pour un autiste comme moi.

...

>sunn*tes