Le /fr/

>faire une remarque critique sur leurs cheveux, pour commencer
On n'est plus en 2002. Les "negs" ne marchent plus et les nanas ont en une sainte horreur depuis que tous les petits cons qui ont lu The Game les harcelent avec.
C’était sympa. La fille est pharmacienne, et elle m'a emmené manger des épis de mais sur la route de la plage, parce qu'on en avait parlé avant. Mais j'ai pas d'endroit pour niquer à Alger, je peux pas la ramener chez ma mère, et elle a pas de local non plus apparemment, donc ça restera platonique jusqu'à nouvel ordre.

Merde bientôt 4h. Allez bonne nuit /fr/ !

oh, ba ça te fait un peu plus de tension sexuelle alors, pour épicer la chose.
Si c'est comme en France la demoiselle doit être pétée de thunes

'nenuit

La place Schoelcher à Cayenne, apparemment importante.

>L'agglomération de Cayenne comptait 106 358 habitants, au dernier recensement de 2011.
wew

Scholcher abolit l'esclavage en 1848. La Guyane s'effondre. Napoléon 3 décide alors d'y établir un bagne.

>Mais Louis XIV, dont la souveraineté sur la Guyane est souvent contestée, ne peut tolérer une telle humiliation. Il charge le vice-amiral du Ponant, le comte Jean II d'Estrées de reprendre Cayenne. Le 21 décembre 1676, lors d'une bataille restée célèbre, Cayenne redevient française. Une période prospère s'installe sur la colonie. Les jésuites s'installent en Guyane en créant des plantations de cacao, de café, de coton et de manioc.

Criminalité
>La ville est un véritable melting-pot de communautés diverses et variées : créoles, amérindiens, bushinengés, chinois, "métro" (blancs), etc. Selon l'Express, Cayenne compterait un tiers de clandestins[réf. souhaitée], ce qui fait qu'il y aurait une grande différence entre population recensée et population réelle. Ces derniers, originaires pour la plupart du Brésil, du Suriname et d'Haïti, sont surtout concentrés sur le pourtour sud-ouest de la ville. Cette pression migratoire ainsi que l'explosion démographique (taux de fécondité de 3,44 enfants par femme) font de Cayenne une ville fortement atteinte par la pauvreté et la criminalité : chômage, squats qui abritent des gens miséreux, prostitution, toxicomanie (et donc trafic de drogue, notamment le crack), vols, home-jacking, et bien évidemment meurtres. Ceux-ci se font très souvent à l'arme blanche (machette ou sabre d'abattis) mais aussi au fusil car la Guyane demeure la seule collectivité française à ne pas exiger un permis de chasse. Les jeunes de moins de 25 ans sont très touchés par ces fléaux ; ils constituent 50% de la population de Cayenne et la moitié d'entre eux sortent de l'école sans aucun diplôme.[réf. nécessaire]
>Le procureur de la république Ivan Auriel affirme que 500 dossiers criminels sont enregistrés chaque année au tribunal de Cayenne. Ainsi, la BAC de Cayenne serait intervenue pas moins de 1.148 fois dans la ville pour des affaires de criminalité plus ou moins graves durant l'année 2012. Les chiffres surclassent ceux de villes de la France métropolitaine réputées dangereuses comme Marseille par exemple. Toutefois, près de la moitié des personnes mises en cause sont de nationalité étrangère, donc non-française et non-guyanaise.